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Adieu sans fin

que disent les 3 avis scannés sur le web du récit de Wolfgang Hermann traduit par Olivier Le Lay  ?

Télérama : Chercher le salut par l’écriture, après la perte d’un être cher, est souvent une aventure intérieure éclairante, une grande source d’apaisement.
Page créée le 29/03/2017 - mise à jour le 21/04/2017 à 18:01

Tableau de bord




le fil du web



4ème de couv

Entrer un matin dans la chambre de son fils, un adolescent de dix-sept ans apparemment en parfaite santé, et s’apercevoir qu’il est mort dans la nuit, c’est ce qui arrive au narrateur de ce livre. Comment survivre à cet événement qui équivaut à la mort, semble-t-il, du temps lui-même ? En vingt-cinq chapitres brefs, ce récit poignant d’inspiration ouvertement autobiographique, tenant soigneusement à distance tout pathos, raconte un itinéraire de survie. Les étapes du deuil se mêlent aux souvenirs ...récents de la vie commune du père et du fils. Après la séparation de ses parents, Fabius, adolescent réputé « difficile », a d’abord habité avec sa mère. Au moment de sa mort, il était revenu vivre chez son père depuis peu de temps. On ne résume pas un tel livre : dans ces pages, ce ne sont pas les faits racontés qui importent mais l’intensité humaine dont ils sont chargés. À travers quelques personnages qui entourent le narrateur, avec lesquels celui-ci noue ou renoue des liens (son ex-épouse, la petite amie de son fils, un ami...), Wolfgang Hermann parvient à rendre sensible au lecteur la fragilité de la vie, sans cesse comparée à une eau qui menace de se figer ou de se perdre - à moins qu’on ne trouve la force de la canaliser pour irriguer d’autres vies.

ISBN grand format 9782864329107
ISBN EPUB 9782864329176

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