Saisissant : une sélection de romans

La Porte du voyage sans retour de D. Diop

T Livres ? T Arts ? 06-2022 : L’auteur nous livre un roman salutaire dans une plume inspirante.

Les choses que nous avons vues de H. Bervoets

Journal du dimanche 06-2022 : Le roman de Hanna Bervoets nous plonge de l’autre côté du miroir où il fait si sombre que même les âmes les plus fortes y perdent pied.

Indice des feux de A. Desjardins

Le goût des livres 05-2022 : Ce qu’il faut retenir c’est que pour une première publication, c’est excellent, plein d’émotions, on s’attache avant tout aux personnages, tout en comprenant les enjeux de certains changements et l’apparition de nouvelles préoccupations dans la vie de tout un (...)

Le blues des phalènes de V. Imhof

Les Lectures de Cannetille 05-2022 : Nombreux sont les faits méconnus et saisissants qui viennent émailler cette reconstitution historique dense et impressionnante, servie par une narration fluide, incisive et engagée.

Le père que tu n’auras pas de L. Leens

Mémo émoi 04-2022 : Un véritable panel d’émotions, d’impressions, de vies heureuses ou pas, de bonheurs, de malheurs.

In absentia de R. Jerusalmy

L’humanité 04-2022 : Voici l’un des romans les plus saisissants de ce printemps.

Toute la famille ensemble de X. Moulins

Lili au fil des pages 03-2022 : Cette comédie de mœurs, aux accents un brin tragique, fouille les âmes, sonde les cœurs avec une fausse légèreté qui révèle la sensibilité d’un auteur qui a trouvé le juste ton, pour dire, ou ne pas dire, simplement (...)

La nuit tombée sur nos âmes de F. Paulin

Black roses for me 03-2022 : En immersion totale dans les rangs des manifestants, avec en bande-son Rage Against the machine, les cris et les rafales, le lecteur subit de plein fouet la répression terrible subie par la foule.

Mâchoires de M. Ojeda

Le Monde 03-2022 : Monica Ojeda joue à merveille de cette ambiguïté fondamentale qui caractérise à ses yeux la figure maternelle. «

De silence et de loup de P. Gain

Tranches de livres 03-2022 : Un roman superbe et qui plonge dans l’essentiel, là où l’être privé de tout, raclé jusqu’ l’os, reste seul dans la lumière de la dure vérité