Dans un quartier qui pourrait être Brooklyn et constitue le décor principal du livre, on suit les heures a priori vacantes de Kate Zambreno, en réalité débordantes de rêveries, de pensées, remplies aussi par les dialogues qu’elle entretient par-delà les décennies avec ses écrivains et cinéastes de chevet : Rilke surtout, mais aussi Robert Walser ou Kafka, Chantal Akerman ou Agnès Varda.