Black roses for me 11-2021 : L’auteure ne cite jamais le nom de Shakespeare. Il brille par son absence. En se plaçant du point de vue d’Agnes, elle dresse avec force le portrait d’une épouse, autrefois sauvage, sensuelle, puis terrassée par la perte de l’amour et le deuil d’un (...)
L’or des livres 10-2020 : Habile conteuse et remarquable peintre, Gabrielle Wittkop nous envoûte de son écriture luxuriante érudite et ironique, tantôt lyrique, onirique ou fantastique, réaliste, burlesque ou macabre.
Télérama 08-2019 : En 1954, Winston Churchill pose devant le peintre Graham Sutherland pour un portrait officiel. Philippe Forest instaure entre eux un dialogue théâtral, auquel il joint sa voix.
Télérama 05-2018 : Délicate, piquante et douce-amère, sa chronique du mariage est une leçon de vie minuscule où l’on se retrouve à table devant un éternel pâté à la viande, tandis que les souris du laboratoire se font la belle… (...)
Encore du noir 09-2017 : On est autant subjugué à la lecture de Station Eleven par la force évocatrice et la sensibilité de l’écriture que par la manière parfaite dont chaque pièce s’emboîte.
Télérama 09-2017 : Ce « roman vrai » néglige le rendu fidèle d’une chronologie, pour cerner plutôt la personnalité d’un esthète épris de liberté, d’un vagabond opiomane avide de l’autre.
Clara et les mots 08-2016 : L’auteure sait insuffler des pensées, des sentiments à ses personnages de façon très adroite et en finesse. Il n’y a pas de rebondissements surprenants et pourtant ce roman est assez hypnotique.