Vieillesse : une sélection de romans
1Rien à déclarer de R. Ford
Mumu dans le bocage 04-2022 : Alors oui c’est difficile de dire pourquoi j’ai beaucoup aimé mais parce qu’il y a parfois des rencontres qui se font, sans pouvoir l’expliquer, parce que l’auteur soulève en vous une onde de reconnaissance pour le regard porté, sa (...)Monsieur Edgar et les impatients de C. Caujolle
Lettres d’Irlande et d’Ailleurs 03-2022 : Ce roman m’a enchantée. Monsieur Edgar et les Impatients est intensément drôle, touchant et virevoltant. Les personnages sont attachants et incarnés avec justesse, les dialogues savoureux.Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes de L. Shriver
Liseuses de Bordeaux 01-2022 : En fait, Lionel Shriver ne prend pas position, elle fuit le manichéisme : elle analyse les failles de la société et pointe du doigt les faiblesses et les effets pervers du « politiquement correct » avec une finesse (...)Le Manège des oubliés de J. Josse
Charybde 27 12-2021 : Vingt-sept nouvelles pour dire en beauté, en poésie et en mélancolie étrangement zen les fins de parcours de vies éternellement cabossées, mais pas pour autant négligeables.Olive, enfin de E. Strout
Baz’art 11-2021 : J’ai ressenti la même mélancolie et nostalgie que dans la série mais avec beaucoup plus de tendresse et de chaleur humaine pour cette femme qui vit ces dernières années.Ce que c’est qu’une existence de C. Montalbetti
Le Monde 08-2021 : Un roman qui raconte l’écriture d’un roman en train de se faire. Savoureux.Constellations : éclats de vie de S. Gleeson
Untitled Magazine 04-2021 : Constellations est un récit très dense sur la vie et sur le corps. Percutante et sensible, l’auteure nous parle du corps dont on ne soupçonne pas assez la force, et des femmes qui créent la nôtre.La Voyageuse de nuit de L. Adler
Papiers d’arpèges 12-2020 : L’essai, le coup de sang, le cri de colère de Laure Adler m’a embarquéeL’essai, le coup de sang, le cri de colère de Laure Adler m’a embarquéeAutomoribundía de . Gómez de la Serna
La viduité 12-2020 : Écrivain d’une fine ironie, d’une plume provocante, baroque souvent, Ramon Gomez de la Serna recueille tout, objets improbables et phrases parfaites, ce qui constitue un signal du réel absolu.À mains nues de A. Dhée
Bonnes feuilles et mauvaise herbe 05-2020 : Sans artifice et sans minimiser les obstacles, l’autrice partage son expérience, ses réflexions, ses questionnements dans un livre qu’il faut lire, relire, faire lire.Catalogue
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