C’est au théâtre de la justice auquel on assiste en lisant ces 192 pages mais aussi à un petit théâtre de la bêtise, de la cruauté mais surtout de la misère. Et c’est tout le talent (et l’intérêt du livre) de Clémentine Thiebault que de poser un regard franc et lucide sur cette scène, ce décor, tous ces acteurs et actrices.