Le récit tourne en rond autour de cette adoration, voire cette idolâtrie, et nous enferme dans une histoire assez étouffante qui écrase les nombreux thèmes intéressants abordés...
Je regrette que cette déclaration d’amour occulte tout ce qui gravite autour du père. Il n’y a aucune indication de lieu, de temps. La narratrice ne parle d’aucun autre membre de la famille. Bien sûr, elle n’a d’yeux que pour cet homme qu’elle idolâtre.
Contraste entre cet homme qui avance tête baissée et l’enfant plein d’ambition que les premières pages du livre décrivent. Face à l’horizon bouché, les rêves d’ascension sociale se reportent sur la génération suivante.