Sous les pavés ... la page
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Souviens-toi de Sarah / Page Comann
Sans doute qu’il m’eût fallu attendre un climat plus doux, oublier les frimas de l’hiver afin d’apprécier ce roman à sa juste valeur et me souvenir de Sarah.

La capture / Nicolas Lebel
Heureux qui comme Nicolas, a fait un bel ouvrage Où il m’enivra plus que de raison, Et qui me redonna la force, le courage De redonner vie à mon crayon.

Kentukis / Samanta Schweblin
Samanta Schweblin transporte le lecteur dans une atmosphère hypnotique, aux frontières du thriller et de la science-fiction, nous offrant une histoire surprenante, sans point mort et radicalement contemporaine.

Joueuse / Benoît Philippon
Admirative, je me couche face à tant de talent car il est le véritable gagnant de cette partie.

Le carnaval des ombres / R. J. Ellory
S’il y a une chose que sait faire R.J. Ellory, c’est sonder l’âme humaine, la creuser jusqu’au plus profond et en extraire ce qui fait le sens même de la vie.

Les somnambules / Chuck Wendig
J’aimerais pouvoir encore tourner ces pages. J’aimerais m’endormir encore avec ce plaisir de lire un roman formidable et cette hâte d’être au lendemain pour pouvoir poursuivre.

Le démon de la colline aux loups / Dimitri Rouchon-Borie
Un moment rare, presque un instant de grâce.

Vigilance / Robert Jackson Bennett
Ce court roman m’a mise en colère et m’a donné l’envie de cracher ma haine, moi d’habitude si calme et mesurée.

Le gibier / Nicolas Lebel
Tapi au fond de son terrier, le Nicolas Lebel ( Nicolephas Laebulus Russus) hiberne et couve, abritant son unique œuf.

Mamie Luger / Benoît Philippon
Un petit bijou qui sent bon les gâteaux qui cuisent au four et qui camouflent les odeurs de cadavres enterrés dans la cave. Un roman triste mais drôle. Un roman, enfin, qui fait un bien fou.

Betty / Tiffany McDaniel
Hey Betty, t’as brisé mon cœur en mille morceaux. Chacun d’entre eux renfermaient un fragment de ton histoire.

Nickel boys / Colson Whitehead
Paradoxe donc…d’un roman au sujet profond dont je me souviendrai et puis de ce même roman qui ne m’aura pas enflammée et que j’oublierai.

Ces orages-là / Sandrine Collette
Ce roman est une belle définition de ce qu’est la résilience, ce qui se cache au fond de chacun d’entre nous : la force parfois insoupçonnée de se redresser après la chute.

Les monstres / Maud Mayeras
C’était ça le pouvoir de Maud. Être capable d’extraire le pire et le meilleur de l’Homme, de le transcender. Et puis de l’anéantir aussi. Avec amour.

Vox / Christina Dalcher
Il m’aura manqué certains développements sacrifiés sur l’autel d’une romance presque inutile et de détails scientifiques ennuyeux qui m’ont apportés beaucoup de lassitude et qui ont provoqués ce désamour dépité.

Impact / Olivier Norek
D’un roman, d’un seul il en créa des cauchemars Jetant, de sa tribune un pavé dans la mare.

Les secrets / Amélie Antoine
Appelons cela de l’empathie ou tout simplement de la solidarité qui appelle les femmes à se soutenir, quelque soit leur désir de maternité.

Et les vivants autour / Barbara Abel
Un roman qui confirme le talent de Barbara Abel pour décrire la monstruosité humaine mais aussi toute la beauté de certaines âmes.

Les Affinités / Robert Charles Wilson
Cette lecture laborieuse me laissera quelques souvenirs que je crains de vite remiser au fond de ma mémoire.

Dans son silence / Alex Michaelides
Grand bien m’a fait de ne pas abandonner car l’abattement s’est transformé en enthousiasme. Parce que ce roman abrite plus de matière qu’il n’a l’air de laisser croire.

Le jour où Kennedy n’est pas mort / R. J. Ellory
Recréer encore et encore comme si seul comptaient l’imaginaire et la vision d’un monde idéal ou infernal qui ne peut naître que dans l’esprit de chacun.

Cinq cartes brûlées / Sophie Loubière
Au final, « Cinq cartes brûlées » est un roman noir parfaitement réussi grâce à ces manipulations ininterrompues. On en ressort essoufflé, presque frappé d’indignation et de questionnements.

L’épidémie / Asa Ericsdotter
Dans ce roman, l’auteur dénonce cette superficialité qui peut isoler dès l’enfance et qui parfois, mène au drame. Le rejet de la différence n’est que le reflet de la peur qu’on a de l’autre.

Cauchemar / Paul Cleave
« Cauchemar » n’est pas qu’un thriller et Paul Cleave réussit toujours à faire passer quelques profondeurs dans ses récits. Ici, il appuie sur la peur du changement, l’inéluctabilité du temps qui passe.

Victime 2117 / Jussi Adler-Olsen
Comme une déception après l’achèvement d’une longue quête qui mène vers un but auquel on ne s’attendait pas.

L’Institut / Stephen King
Je tourne la dernière page de « L’institut » et les mêmes questions me taraudent. Sera-ce le dernier roman du grand King ? Je fais le vœux qu’il vive encore très longtemps…

La Police des fleurs, des arbres et des forêts / Romain Puértolas
Haaa le vil fourbe que cet auteur à l’imagination prolifique…qui m’aura, une fois de plus, apporté un peu de sa gaieté de vivre et de son amour pour la vie.

Juste après la vague / Sandrine Collette
« Juste après la vague » est un roman post-apocalyptique. Un roman noir. Un roman d’amour. Un roman magnifique… Il y a tant de délicatesse dans les mots de Sandrine Collette, tant de douceur aussi.

J’ai encore menti ! / Gilles Legardinier
Les romans de l’auteur sont bien plus profonds qu’il n’y paraît. A travers quelques personnages complètement désinhibés, c’est tout un modèle comportemental qu’il jette aux ordures.

Raisons obscures / Amélie Antoine
Amélie Antoine m’a bouleversée. J’ai été chavirée par ce roman à la fois si simple et si complexe.

Les Testaments / Margaret Atwood
« Les testaments » se doit d’être lu avec lucidité sur le monde qui nous entoure, sur les attitudes des uns et les paroles des autres. Il ne mérite pas de lecture superficielle car in fine, son contenu est trop important pour qu’on le juge avec légèreté.

Sång / Johana Gustawsson
Les romans de Johana sont denses et ne font jamais dans le mono-sujet. Outre le fond historique et dramatique, elle dénonce également les excès et dangers liés à la procréation médicalement assistée. L

Une bonne intention / Solène Bakowski
La grâce est omniprésente. Dans les gestes, les pensées ou les paroles. Même la noirceur est teintée de cette douceur inhérente à la personnalité de l’auteure. Solène Bakowski est partout dans ce roman, sa présence est prégnante.

Je suis un guépard / Phillipe Hauret
Des fragments de vies comme il en existe tant mais racontés avec talent.

Inexorable / Claire Favan
Le roman de Claire Favan a agité des souvenirs. Des coups et des moqueries… et une petite fille souvent seule qui ne comprenait pas pourquoi.

UnPur / Isabelle Desesquelles
Ce roman laisse un goût plus qu’amer. Le fond est nécessaire et la forme est contrôlée. Isabelle Desesquelles remue la boue et traite des cicatrices de l’enfance, des traces indélébiles. Une vie d’adulte gâchée pour quelques instants d’inattention.

Les fauves / Ingrid Desjours
C’est son choix et il est respectable. Ceci dit, la part psychologique qu’elle maîtrise tant m’aurait bien plus séduite que l’histoire de ces deux êtres trop torturés à mon goût.

Dans les angles morts / Elisabeth Brundage
Elizabeth Brundage nous livre un roman sur l’apothéose de la féminité. Sans concession mais avec une tendresse infinie qui transpire entre les lignes.

Né d’aucune femme / Franck Bouysse
« Né d’aucune femme » est de ces romans qui laissent une marque au plus profond. De ces textes que l’on entend presque car il est fait de voix qui murmurent, qui chantent, qui hurlent même parfois.

De bonnes raisons de mourir / Morgan Audic
Ne pas oublier de parler du travail formidable de l’auteur. Des recherches effectuées, de l’écriture soignée et de l’oubli de la facilité pour seulement un second roman.

Le Gamin des ordures / Julie Ewa
Julie Ewa, malgré sa jeunesse, apprend à ses aînés. Avec des phrases simples, elle jette à la gueule des ignorants tels que moi, des vies plus compliquées.

Le chant de l’assassin / R. J. Ellory
Voilà le genre d’histoire que j’aurais aimé vous conter mais il fallait la plume formidable de R.J. Ellory pour le faire car il ne suffit pas de raconter une histoire, encore faut-il avoir son talent pour la rendre mémorable.

Apocryphe / René Manzor
René Manzor donne vie à la nostalgie et rend tangibles tous ces personnages, qu’ils soient historiques ou bibliques.

La Punition qu’elle mérite / Elizabeth George
Avec Elizabeth George, on s’immisce dans l’intime et on prend goût à ce jeu pervers de voyeurisme...
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