Par les temps qui courent, un polar qui aborde si frontalement la question de la corruption et du dédain de l’environnement par ceux qui sont en charge de le sauver est salutaire.
On est laissé avec un sentiment d’injustice et de colère face au monde tel qu’il est fort bien décrit par Marie-Ève Sévigny où la nature et les hommes ne sont que des ressources à exploiter dont on cherche à tirer le maximum de profits.