Jennifer Richard livre le troisième volet, entre flip book augmenté et théâtre d’ombres, d’une ample fresque consacrée aux déploiements mortifères de l’impérialisme à la conquête de l’Afrique centrale, du dernier quart du XIXe siècle à la Grande Guerre.
A travers le roman du marchand d’armes (1849-1936), l’écrivaine montre que son absence totale d’éthique valait bien celle des puissants qu’il fréquentait.