Le style n’a pas facilité ma lecture. Les phrases sont longues, souvent tortueuses. Le récit est généralement à la seconde personne mais parfois l’auteur passe au « je ». Je l’ai déjà signalé mais s’invite dans la tête de la narratrice Ndiolé, le symbole de la petite fille abandonnée. Un peu agaçante, elle ne m’a pas apporté d’émotion.