Récit intimiste et mélancolique, Le Signal cache entre ses pages la poussière et le sable d’un autrefois révolu, marqué par les larmes qui se confondent aux embruns et les rires mouillés.
Sophie Poirier est tombée d’amour pour Le signal, tout comme moi pour ce récit qui a réussi en un peu plus d’une centaine de pages à me faire ressentir un attachement particulier pour un bloc de béton face à la mer.
Le Signal, témoigne ainsi de ces vies heureuses de vacanciers dont il est encore imprégné tout en apparaissant comme une sorte de musée d’une époque disparue.