Miscellanées
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Coup de pelle / Alice Pol
J’ai vite lâché l’affaire (au premier quart du roman,,,), m’ennuyant ferme, trouvant tout simplement indigeste ce verbiage superficiel, faussement « intellectuel », ces conversations inabouties et bancale

Dans les brumes de Capelans / Olivier Norek
Des personnages forts, une ambiance (géographique) pesante et la virtuosité d’Olivier Norek pour faire de ce polar un page-turner addictif où les dialogues (parfois à l’économie) font mouche.

Les derniers jours des fauves / Jérôme Leroy
Politique-fiction addictive, ce roman se dévore (sans toutefois que les "rebondissements" n’étonnent le lecteur !), le rythme est assez calme alors que les éléments de la narration s’accélèrent.. Mais.... QUI CORRIGE les épreuves à La Manufacture de Livres ???

Le mur des silences / Arnaldur Indridason
Ça parait parfois un peu superficiel, peut-être surjoué, mais ça fonctionne.

Le pays des autres. T2, Regardez-nous danser / Leïla Slimani
Un très bon roman, vivant, mêlant vies minuscules et Histoire malgré une narration un peu "classique". Des personnages plus prégnants, plus empathiques.

Le carré des indigents / Hugues Pagan
Ce Schneider, vraiment à part, désenchanté, finit par en être attachant, presque plus humain qu’il ne le laisse transparaître, et on s’attache à résoudre l’affaire, à savoir qui a fait du mal à Betty.

Le Grand Monde / Pierre Lemaitre
Du boulot d’orfèvre, le début d’une saga déjà très "page-turner"

La vertu du mensonge / Ellen G. Simensen
Pourtant, j’ai lâché l’affaire. A moins de 50 pages de la fin...

Traverser la nuit / Hervé Le Corre
D’un point de vue narratif, ce polar prend souvent des accents trop littéraires, mais l’écriture au scalpel accentue la cruauté de l’histoire. RÉGAL ! pas d’autre mot !

Monument national / Julia Deck
Je me suis amusée à deviner "QUI", comme sans doute beaucoup de lecteurs même peu férus de potins people, mais j’ai surtout aimé, une fois encore, comment Julia DECK, par-delà les apparences, réussit à interroger sur nos mœurs contemporaines et notre rapport à l’information.

Respire / Niko Tackian
J’ai apprécié le mélange polar-roman d’aventures-fantastique, l’idée que Niko Tackian s’amuse avec son lecteur et place ce polar dans une perspective plus psychologique.

Ne t’arrête pas de courir / Mathieu Palain
Une réflexion sur la prison, la réinsertion, les doutes et les peurs, la solitude et les blessures d’abandon.

Adieu poulet ! / Raf Vallet
Ça ne sera pas mon polar préféré de l’année, loin s’en faut, mais j’ai aimé cette plongée (parfois abyssale par rapport au monde d’aujourd’hui) où on pouvait encore se délecter d’une côte de boeuf ou d’une tête de veau ravigote sans être pointés du doigt...

Mon maître et mon vainqueur / François-Henri Désérable
Un roman à la fois profond, sur la passion amoureuse (Roméo et Juliette n’ont qu’à bien se tenir !) et sur l’amitié, et tout aussi léger, presque frétillant.

Cavalier, passe ton chemin / Larry McMurtry
J’aurais pu fermer ce bouquin si le dernier 1/3 ne m’avait pas retenue.

Sans passer par la case départ / Camilla Läckberg
Intéressant, mais finalement pas très original, un dénouement plutôt attendu et facile...

Blizzard / Marie Vingtras
Une narration bien menée, un style impeccable, une ambiance parfaitement restituée, bref...une très belle réussite !

Mohican / Eric Fottorino
Ce roman m’a beaucoup touchée parce qu’au-delà de l’histoire évoquée, on peut toucher du doigt la fragilité de notre monde qui cherche à s’adapter.

L’Arbre ou la Maison / Azouz Begag
C’est surtout sans préjugés qu’Azouz Begag replace la question de l’identité et des origines, dans ce roman plus malin, plus fin qu’il ne parait aux premiers abords.

Les dents de lait / Helene Bukowski
J’ai apprécié le mystère persistant sur les origines et la fin ouverte qui laissent le lecteur libre d’imaginer les prémices et la suite de cette histoire.

Grande Couronne / Salomé Kiner
Elle est surtout d’une justesse épatante, d’une maturité incroyable et le style de Salomé Kiner sert ce récit initiatique dérangeant en réussissant à ne pas laisser le sordide dominer.

Le Serpent majuscule / Pierre Lemaitre
Ce n’est certes pas un "chef-d’œuvre" qu’on aurait pu attendre, ça pourrait être une sorte d’opportunité "commerciale" (parution avant l’été..) mais il ne faut pas bouder son plaisir !

True story / Reed Petty Kate
Le roman aurait gagné à ne pas trop s’éparpiller,,,

Le Fils du professeur / Luc Chomarat
Luc Chomarat offre cependant bien plus que des réminiscences d’un monde révolu, il glisse dans ces réflexions enfantines un regard sur des interrogations universelles (religion, politique, place des femmes dans la société, rôle de l’école, urbanisation) et ancre son récit dans l’actualité de l’époque.

Les soeurs de Montmorts / Jérôme Loubry
J’ai cru capituler devant tant d’indigence dans la narration, entre répétitions et lourdeurs narratives absolument indigestes !

La Porte du voyage sans retour / David Diop
David DIOP livre ici un roman sensible, teinté de nostalgie, le récit initiatique d’un authentique amoureux de l’Afrique, le récit d’un voyage au-delà du temps qui alterne Histoire et histoires.

Rien ne t’appartient / Nathacha Appanah
Un beau portrait de femme, entre chagrin et folie, servi par une plume délicate.

Les contreforts / Guillaume Sire
La narration oscille entre conte et réalisme, ajoutant une touche de mystère à ce roman.

L’élégant / Barthélémy Desplats
C’est tendre et beau, c’est une belle déclaration d’amour d’un fils à son père qui sait être en train de mourir.

Requiem pour une République / Thomas Cantaloube
Il y a certes beaucoup d’éléments dans ce polar politico-historique, cela tient sûrement à la profusion d’évènements survenus avec l’instauration de la Vème République et les débuts de la guerre d’Algérie, mais j’ai aimé ce méli-mélo d’affaires entremêlées qui m’a fait connaître un peu mieux cette période.

Pietà / Daniel Cole
Le rythme change, les événements se précipitent et le polar devient addictif, assez malin pour titiller la curiosité bien que le meurtrier soit connu (parce que finalement, les deux flics branquignols sont plutôt perspicaces !).

Les Vents sauvages / Johann Guillaud-Bachet
Un roman fort qui fait la part belle à la nature, violente, perturbée, indomptée. Un roman qui flirte avec le polar, joue dans le registre du fantastique (voire de l’horreur), explore les relations hommes/femmes dans la violence, la résistance et la résilience.

Saint Jacques / Bénédicte Belpois
Si le roman aborde les difficultés des relations mère-fille qui se reproduit de génération en génération, comme la maternité précoce des personnages féminins de cette lignée, elles me sont apparues trop peu exploitées pour dessiner correctement la personnalité de Paloma la narratrice.

Komodo / David Vann
Bref vous l’aurez deviné, je suis passée à côté (très loin au large) de ce roman dont j’attendais sans doute beaucoup trop.

Quarantaine / Peter May
Comme d’habitude avec l’auteur, le rythme du roman est trépidant, voire frénétique, entre courses-poursuite et retournement de situation. Le polar n’en est que plus vivant même si les rebondissements paraissent parfois rocambolesques.

Huit crimes parfaits / Peter Swanson
Même si j’avais deviné assez tôt les ressorts de cette intrigue, même sil m’a semblé que les traits des personnages auraient pu être plus « fouillés », j’ai passé un bon moment.

Presqu’îles / Yan Lespoux
La plume est simple et pourtant délicate, sensible et juste.

Les enfants sont rois / Delphine de Vigan
Intéressante réflexion sur notre société ultraconnectée et ses dérives, ce roman se lit d’une traite !

Coup de vent / Mark Haskell Smith
Ce roman, purement jubilatoire, qui flirte avec les codes du polar, est simplement addictif !

Nos corps étrangers / Carine Joaquim
C’est un roman qui suggère tellement de thèmes sans les approfondir que je me suis sentie frustrée...

Les Bordes / Aurélie Jeannin
La narration est fluide, les mots se bousculent, pourtant on a aussi l’impression de suffoquer, d’être submergé par l’ambiance angoissante des pensées de Brune et de ses souvenirs terribles.

Une rose seule / Muriel Barbery
Là, j’ai eu beaucoup de plaisir à redécouvrir sa plume et à suivre Rose, l’héroïne, dans ce voyage de deuil au Japon.

Tout peut s’oublier / Olivier Adam
Bref, si je veux connaitre les opinions politiques ou sociétales d’un auteur, j’aime bien que ses romans la rendent finement, et là c’était tellement gros sabots que ça m’a énervée !

Fin d’exploitation / Denis Flageul
Parce que tout sonne sincère et vrai, parce que les personnages avec leurs failles et leur lumière nous semblent proches, parce que les mots sont forts.
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