Franck Mignot parvient à métaphoriser le traumatisme du confinement et à le transmuter jusqu’à l’absurde existentiel.
L’amertume du ton désabusé employé pour décrire la médiocrité (et la mollesse donc) d’une vie banale et ordinaire.
Le roman laisse durablement un sale goût dans la bouche, une histoire très noire, un nom à retenir.
Franck Mignot Mollesse