La chronique poétique subtile d’un retour à l’essentiel, à une terre riche en luttes et en amitiés, sans repli mais au contraire dans la ligne de fuite magnifique.
Ces presque 400 pages brûlent, mais baignent aussi dans l’étrange lumière d’un soleil noir qui n’est pas uniquement désespéré. Et c’est bien ainsi que la langue et la poésie, tirant leur force de leur humilité, sont grandes, actives et indispensables.