La scène d’ouverture est atroce, le lecteur, dès lors, est prévenu. Mannara va s’emparer de nos craintes les plus profondes, gratter nos plaies et décliner les menaces qui nous guettent dans un roman d’anticipation, très noir, politique forcément.
De la prose encourageante et prometteuse mais qui dénonce trop de choses comme si Franco Mannara pensait n’écrire qu’un seul roman et avait voulu condenser un maximum de débats pour en dire le plus possible.