Hélène Ling orchestre un questionnement sans relâche, traquant l’importance des origines et aussi bien de leur refus, la géométrie variable qui s’applique à tout ce qui est « né quelque part », l’appropriation des symboles et la fabrication des mythologies.
Des histoires enchevêtrées aux liens tenus, des bribes d’information sur les différents membres des familles chinoises ou indiennes donnent des personnages fuyants auxquels il est difficile de s’attacher et surtout un sens que je ne suis pas certaine d’avoir compris.