L’Albatros
Adresse du site http://www.nicolashouguet.comBibliosurf suit ce site depuis le 29 août 2019 et référence 9 articles. Le dernier article date du 6 avril 2020.
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Chronique du 6 avril 2020
Francis Rissin / Martin Mongin
C’est foisonnant, c’est généreux, c’est drôle, c’est audacieux, c’est ambitieux surtout et plein d’un incroyable panache.
Chronique du 18 mars 2020
Avant la longue flamme rouge / Guillaume Sire
Dès les premières pages ce fut l’envoutement. C’était des bibliothèques entières qui s’animaient, des images, des imaginations.
Chronique du 1er mars 2020
Sankhara / Frédérique Deghelt
Ce livre que je n’attendais pas et dont je craignais un peu qu’il ne soit qu’une histoire de couple en crise comme on en a tant vu. Il est bien davantage. Il dit l’état du monde en même temps que celui de nos intimités.
Chronique du 10 février 2020
J’aurais voulu être un Beatles / Jérôme Attal
Jérôme Attal est touchant et attentionné, dans la vie et dans l’écriture. Là encore cohérent. On peut fredonner ses livres comme des chansons, ils réenchanteront un peu le monde.
Chronique du 5 février 2020
La femme révélée / Gaëlle Nohant
C’est un portrait qui apparaît doucement dans le bain et la lumière rouge et un peu magique d’une photo en noir et blanc qu’on développe.
Chronique du 11 janvier 2020
Rivage de la colère / Caroline Laurent
J’ai lu ce roman recueilli, lentement, longuement. Pas seulement parce qu’il est de Caroline mais simplement parce qu’il est sublime. Parce qu’il porte cette mémoire-là et la donne à ressentir.
Chronique du 17 octobre 2019
Virginia / Emmanuelle Favier
Emmanuelle Favier abolit les genres littéraires, la déférence des figures trop sacrées. Elle choisit d’être inclassable. Elle choisit d’approcher son sujet par l’intuition.
Chronique du 2 septembre 2019
Les simples / Yannick Grannec
Il est rare en vérité, que je me retrouve envieux à la fin d’un livre. De cette admiration extrême qui vous fait murmurer « j’aimerais pouvoir devenir cet écrivain-là ».
Chronique du 29 août 2019
La collectionneuse / Agnès Vannouvong
Ce qui domine ici c’est la malice. Une plume en liberté également. Agnès s’amuse avec le genre, avec l’art, avec le sexe, avec la vanité et les faiblesses de ses personnages.