La plume est belle et délicate, le jeu narratif intéressant mais il en faudrait bien plus que 119 pages pour me satisfaire. Géraldine JEFFROY a tout juste réussi à m’ouvrir un immense appétit.
Ce court – et beau – roman peut se lire comme un chemin vers l’émancipation d’une jeune femme, comme un manuel de création artistique, comme un nouvel épisode des relations tumultueuses entre Camille Claudel et Auguste Rodin.