Jeanne Desaubry
Adresse du site http://jeanne.desaubry.over-blog.comBibliosurf suit ce site depuis le 21 novembre 2015 et référence 70 articles. Le dernier article date du 21 mars 2022.
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555 / Hélène Gestern
L’écriture légère, déliée, le plan minutieux, l’univers baigné de musique, les personnages tracés avec une grave affection. Voilà une très belle découverte.
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L’hôtel de verre / Emily St. John Mandel
Certes, le fait divers en question ne présente plus guère de mystère. Il a fait l’objet de romans, de séries, de films et de documentaires. Et pourtant, l’auteur nous offre un regard neuf, très personnel dessus.
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Le carnaval des ombres / R. J. Ellory
Le Carnaval des Ombres est un roman somme toute inégal mais aux assisses politiques solides, et humainement plein de chaleur.
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La femme au manteau bleu / Deon Meyer
Manque de temps ou manque de tripes, il n’y a rien à retenir que de la frustration et de la déception de ce fantôme de roman qui ne dépasse pas 180 pages, tracées à grands traits.
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Terminal mortuaire / Jean-Noël Levavasseur
Lâchez un brave gars, cœur à gauche, dans un port de la Manche, mettez-lui une tenue noire de gardien de départ de ferry, et vous aurez les ingrédients d’un mélo de série télé. Ce serait mésestimer la sensibilité, toute en retenue, et l’intelligence de l’auteur.
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La longue marche des Navajos / Anne Hillerman
La reprise des personnages à la suite de leur créateur, quand le mecteur est imprégné de leur passé, n’est pas le plus difficile. Il y a autre chose, d’impalpable, quasiment indicible, qui relève de quoi ? Le style ? L’esprit ? On osera : l’âme...
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Pleine balle / James Holin
Il a été édité chez Ravet-Anceau au temps jadis où ces nordistes faisaient dans le bon polar, le voici au Caïman, c’est James Holin, inclassable, cynique, drôle quand on apprécie l’humour noir, jamais là où on l’attendrait.
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Rosine / Sandrine Cohen
Rapide, fin, prenant... Une pareille originalité est exceptionnelle dans un paysage de block buster littéraires encore plus affirmé en ces temps de crise.
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Des phalènes pour le commissaire Ricciardi / Maurizio De Giovanni
Je commettrai ce qui paraitra peut-être un sacrilège aux yeux de certains : depuis la découverte de Andréa Camilleri, je n’avais pas vécu ce sentiment d’intime satisfaction : celle de pénétrer subrepticement l’âme de l’Italie telle que la littérature nous l’offre.
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Terminal 4 / Hervé Jourdain
Le rythme de staccato d’Hervé Jourdain, un peu exagéré peut-être au début, s’assouplit à partir de la mi roman, sans pour autant donner dans le bavardage, mais laissant au moins son lecteur respirer un coup entre deux phrases.
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Trouver l’enfant / Rene Denfeld
C’est un « bon » roman, aux héroïnes touchantes, mais peut-être légèrement moins réussi que le premier de la série.
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De bonnes raisons de mourir / Morgan Audic
Malgré les critiques sur la figure imposée du thriller, il faut reconnaitre que l’épaisseur des personnages, le contexte et le rythme, l’aptitude de Morgan Audic à ficeler un bon suspens, font de De bonnes raisons de mourir une lecture prenante dont certains aspects restent en mémoire.
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Toute la violence des hommes / Paul Colize
Très visuel, et comme d’habitude avec Paul Colize parfaitement documenté, ce roman est touchant parce qu’il rappelle, sans cependant jamais faire la morale, ce qui ne devrait jamais s’oublier : héberger des criminels de guerre, faire l’impasse sur la justice due aux victimes est impardonnable.
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Terre brûlée / Paula Vézac
Certes, on n’attend pas d’un personnage à la Andreani des courses poursuites, un suspens fou et des morts en avalanche, mais je suis restée légèrement sur ma faim concernant la richesse du contenu.
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Et toujours les forêts / Sandrine Collette
C’est avec une grande subtilité qu’elle installe, avec un style mesuré, jamais boursouflé, les grandes questions qui taraudent le monde actuel : ce que c’est que d’être homme, la solidarité ou son contraire, la violence et la peur, mais aussi l’amour et la beauté.
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Après les chiens / Michèle Pedinielli
Quand la thèse est trop visible, aussi estimable soit-elle ça coince aux entournures de la narration.
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Boccanera / Michèle Pedinielli
Nice, sans les bousculades des touristes et la circulation infernale en été, tout est là, à portée de lecture. Ne vous en privez pas.
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Lost man / Jane Harper
Si la narration est plus classique que dans Canicule ou Sauvage, l’épaisseur des personnages, tant centraux que secondaires, se révèle exceptionnelle.
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Le Pays des oubliés / Michael Farris Smith
La rédemption est-elle possible ? C’est la question que pose Farris Smith avec un talent unique.
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Je ne suis pas un monstre / Carme Chaparro
Quoi qu’il en soit, on peut recommander chaleureusement Je ne suis pas un monstre dont la chute, assez glaçante, permet de voir se dessiner le visage des vrais monstres de notre époque.
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Opus 77 / Alexis Ragougneau
C’est toute une construction littéraire savante, habile qui sait s’effacer pour construire un texte poignant sur les relations d’amour impossible au sein des familles, sur l’obsession du succès, sur amour et désamour, sur le lien sœur-frère et la musique, partout la musique.
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Vaste comme la nuit / Elena Piacentini
Elena Piacentini affirme sa maitrise tant de l’intrigue que des dialogues, et son humanité transparait dans la moindre de ses lignes.
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3 secondes : le compte à rebours a commencé / Börge Hellström & Anders Roslund
Et tout ça en 569 pages, pas toujours très bien traduites ! Je ne me ferai jamais au rythme des nordiques.
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Dans l’ombre du brasier / Hervé Le Corre
Quatre cent soixante pages qui se lisent presque d’une traite, qui vous donneront envie de revenir à vos manuels d’histoire, qui vous tiendront en haleine, vous faisant passer du bouillon de la colère à l’espoir inquiet.
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L’Eté circulaire / Marion Brunet
De beaux personnages forts et touchants, une ambiance incroyablement pesante, une écriture qui évite les écueils de la complaisance ou du suspens artificiel, bref une efficacité totale au service d’une vérité aveuglante comme un soleil d’août.
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La Vraie Vie / Adeline Dieudonné
Ce premier roman a reçu un écho très flatteur. Sorti il y a quelques mois, il a reçu un nombre de prix incroyable. Et le croirez-vous ? Il les méritait tous.
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Un pays obscur / Alain Claret
Plus que l’intrigue, que Claret s’amuse à brouiller tout du long, c’est le climat qui mérite toute l’attention du lecteur dans ce magnifique roman.
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My Absolute Darling / Gabriel Tallent
Ah, quel dommage, l’avoir terminé est une souffrance qui ne se pourra consoler qu’en convaincant le maximum de lecteurs de se ruer instantanément dans ses pages.
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Hôtel Waldheim / François Vallejo
Délaissez donc ces romans qui font un bruit inutile dans les salons, et plongez-vous dans ce fleuve profond et rafraichissant. Vous n’en aurez que du plaisir, intelligent et revigorant.
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Xangô / Gildas Girodeau
Alors, certes, on est devant un roman, encore un, mettant en scène un tueur en série. Mais moi la réfractaire, pas une fois je n’ai pas soupiré d’agacement. Gildas Girodeau réussit l’exploit considérable de renouveler ce genre pourtant éculé.
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Kabukicho / Dominique Sylvain
Le roman a juste le format du long vol pour Tokyo, mais on n’est pas obligé d’attendre le voyage pour le lire. Il pourrait vous en dispenser si votre objet était de découvrir Kabukicho, le quartier chaud aux lanternes rouges de la tradition.
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Article 353 du Code pénal / Tanguy Viel
Avant de vous laisser noyer par le torrent de la rentrée, prenez le temps de lire celui-ci. Son intelligence, sa force, sa grande humanité, l’absence d’affectation dans la peinture de la France d’en bas…
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Nulle part sur la terre / Michael Farris Smith
J’ai retrouvé, d’une certaine manière, la noirceur sans concession d’un Cormac Maccarty, les qualités d’évocation du Sud d’un James Lee Burke, le désespoir hargneux de Jon Bassof.
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Zanzara / Paul Colize
C’est un excellent roman que ce Zanzara dont on se demande tout du long si la noirceur va vers la nuit ou vers l’aurore… Vivre à fond ou mourir, vivre à fond et mourir, forcément ?
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Le directeur n’aime pas les cadavres / Rafael Menjiva Ochoa
Aaahh : soupir d’aise. Par quoi commencer ? L’ambiance ? L’exotisme d’une Amérique du Sud fantasmatique ? La dinguerie des relations familiales ?
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Accidents / Olivier Bordaçarre
Bordaçarre se trouve ici édité en « littérature », tout court. Pas polar, pas suspens, pas thriller pas… où de la démonstration que les qualités d’un roman n’ont pas besoin d’étiquettes.
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Derrière les portes / B. A. Paris
Dans le genre douée pour cacher son jeu, B.A. Paris n’est pas mal non plus. Je ne pense pas, enfin je n’espère pas qu’elle soit aussi dangereuse que son héros masculin…
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Aux vents mauvais / Elena Piacentini
Elena Piacentini nous livre des feuillets pourtant pleins d’espoir. Si l’âme de Leoni dérape parfois dans le noir, c’est pour mieux revenir à la lumière en notre compagnie.
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La Peine capitale / Santiago Roncagliolo
Un pan de l’histoire en action, ses répercussions dans la vie des simples quidams, dans une belle traduction. Voilà un roman touchant, original par son implantation, un bon rappel historique aussi à la construction impeccable.
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Les témoins de pierre / Simon Beckett
Les lecteurs qui ont aimé Grossir le Ciel de Franck Bouysse (La Manufacture puis Livre de Poche) retrouveront un peu l’âme de ses lignes dans ce roman.
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Un prisonnier modèle / Paul Cleave
Bref, pour sourire noir, heureusement Cleave est là.
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Rome brûle / Giancarlo De Cataldo & Carlo Bonini
Il faudra sans doute de nombreux romans pour désinsectiser l’économie et la vie politique italiennes…
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Rien ne se perd / Cloé Mehdi
Le manichéisme dessert à mes yeux le roman alors que Cloé Mehdi est dotée d’une belle plume toute en finesse. Le manichéisme dessert toujours l’idée qu’il prétend défendre.
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Ne sautez pas ! / Frédéric Ernotte
A lire pour pouvoir se disputer avec panache lors d’un dîner ou serait abordé les thèmes de la misère dans le monde, de l’égoïsme, du sort des réfugiés, et de chacun chez soi… chacun pour soi.
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