Elle revenait de Paris, où, si heureuse de participer bientôt à la grande fiesta de la rentrée littéraire, elle avait signé le service de presse de son deuxième roman, « Nico ».
En dépit de quelques longueurs (quand la narratrice évoque les vies imaginaires à partir des noms figurant sur les stèles funéraires), on passe un excellent moment avec ce roman feel good qui sait maintenir un parfait équilibre entre émotion et humour.
Un roman à la construction habile dans lequel on se sent bien, tant s’en dégage un agréable parfum de bienveillance envers soi et envers autrui : un gros plaisir de lecture !