Mireille Gagné
Que disent les 16 avis scannés sur le web de cette écrivaine canadienne ?
Mireille Gagné (ou Mireille G. Gagné ; née le 6 avril 1982 à l'Isle-aux-Grues) est une poète, nouvelliste et romancière québécoise.Mireille Gagné écrit en français .
VIAF signale 4 parutions de cette écrivaine dans le monde.
Page créée le 18/08/2020 - mise à jour le 20/11/2022 à 22:10
Tableau de bord
Le fil du web
Dealer de lignes 20-11-2022
Chronique de Bois de fer
Mireille Gagné nous fait sortir des sentiers battus, en nous offrant à sa manière un récit poétique, écologiste avec une belle part d’ironie...
La page qui marque 19-11-2022
Chronique de Bois de fer
Par ses mots d’une grande poésie, par l’univers mystérieux qu’elle déploie autour de nous, Mireille Gagné nous propose une expérience saisissante.
Le tourneur de pages 14-05-2021
Chronique de Le lièvre d’Amérique
C’est une cartographie des fragilités de l’être que dresse la romancière. Son écriture, par la richesse des registres maniés, esquisse toute la violence subie un individu face au déferlement du monde qui est loin de la nature.
31st floor 25-02-2021
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Un premier roman original et déroutant en forme de fable moderne – que j’ai dévoré d’une traite – qui dit combien il est facile de s’égarer dans nos sociétés modernes qui érigent la performance en valeur..
Le petit poucet des mots 10-01-2021
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Une fable très originale, parfois étrange et inquiétante dans son ambiance, titillant presque la science-fiction, qui invite chaque lecteur à s’interroger avec une sorte de fermeté délicate sur notre vie citadine et notre rapport charnel à la nature qui, selon l’auteur, reste à jamais notre première demeure.
Tu vas t’abimer les yeux 27-12-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
« Le Lièvre d’Amérique » est un récit original et surprenant, qui dénonce avec brio les dérives de la société moderne.
Polar noir et blanc 09-12-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
L’anxiété de performance et la perte d’identité dont parle Le lièvre d’Amérique sont bien réels. En fait, on peut lire le livre entier les pieds bien ancrés dans la réalité. Ou se laisser dévorer.
PatiVore 24-11-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Ce roman rythmé, envoûtant, considéré au Québec comme « une fable animalière néolibérale [qui] s’adresse à celles et ceux qui se sont égarés », est surprenant, pratiquement kafkaïen (aliénation, transformation).
Lettres exprès 13-11-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Je dirais que ce n’est pas un roman qui se dévore, ses sauts dans le temps, et d’un thème et d’un style à un autre poussent davantage à le savourer.
Le Monde 29-10-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Un gène de « lepus americanus » transforme une femme en employée infatigable et heureuse. Ou presque. Fabuleux premier roman d’une écrivaine québécoise.
Article payantLa page qui marque 25-08-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
C’est une curiosité littéraire profonde et envoûtante que je vous invite à découvrir car on en ressort pas complétement indemne.
Baz’art 22-08-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
Un livre court et puissant sur les dérives du tranhumanisme qui fait forcément penser aux Truismes de Marie Darrieusecq, avec une toile de fond plus contemporaine, car l’auteure réussit aussi une critique subtile mais efficace du tout- libéralisme.
Un dernier livre avant la fin du monde 21-08-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
il bouscule, bascule, et éblouit. Ce Lièvre d’Amérique réussit son coup, puisqu’on en ressort transporté et transformé, cherchant dans la terre le meilleur endroit pour creuser un terrier.
Cathulu 19-08-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
S’inscrivant dans la lignée de La femme changée en renard de David Garnett , ou plus acide et violent de Truismes de Marie Darrieussecq, Le lièvre d’Amérique renouvelle le genre , par sa poésie et son amour de la nature, et se prête comme ses prédécesseurs à de multiples interprétations.
La viduité 13-08-2020
Chronique de Le lièvre d’Amérique
La très belle idée de ce roman est de faire de ces disjonctions des explications imparfaites, jamais revendiquées pour les platitudes psychologiques ainsi imposées.