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Jack Finney

Que disent les 5 avis scannés sur le web de cet écrivain américain  ?

Jack Finney, né le 2 octobre 1911 à Milwaukee dans le Wisconsin et mort le 14 novembre 1995 à Greenbrae en Californie, est un auteur de science-fiction et de thrillers américain.
Jack Finney écrit en anglais .
VIAF signale 65 parutions de cet écrivain dans le monde.


Page créée le 24/06/2022 - mise à jour le 12/10/2022 à 10:59

Tableau de bord

Sur le web
Fiche wikipedia
VIAF

Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Body snatchers : l’invasion des profanateurs
5 avis- 4/5

Le fil du web

Au pays des cave trolls 12-10-2022

Chronique de Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Body snatchers est devenu un classique de Sf horrifique, mettant en place des éléments devenus des canons du récit d’angoisse se déroulant dans les petites villes, où l’horreur peut surgir n’importe où.


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L’épaule d’Orion 20-07-2022

Chronique de Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Ficelé comme un scénario hollywoodien, d’où sa relative facilitée d’adaptation à l’écran, le récit est redoutable d’efficacité. Body Snatchers se lit d’une traite, sans pause ou temps mort.


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Boojum 19-07-2022

Chronique de Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Disons-le tout de suite : c’est un chef d’œuvre du genre. Finney réussit en deux cent vingt pages à proposer un récit ancré dans le quotidien et qui dérape peu à peu vers le fantastique.


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Un dernier livre avant la fin du monde 03-07-2022

Chronique de Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Il s’agit d’un excellent roman de science-fiction, malin, drôle et aventureux, ayant beaucoup plus à offrir qu’une simple histoire, servi par l’impeccable traduction de Michel Lebrun avec une superbe couverture signé Aurélien Police.


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De l’autre côté des livres 24-06-2022

Chronique de Body snatchers : l’invasion des profanateurs

Adapté de nombreuses fois au cinéma, le roman a une écriture très scénaristique et sa structure rappelle fortement les épisodes de La Quatrième dimension, même si le « happy end » final est un peu trop miraculeux à mon goût.


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