A la lecture de son écriture ciselée, délicate et limpide, on comprend à quel point la maîtrise des mots a précédé et sans doute scellé la maîtrise de son destin, qui pourtant n’était pas celui qui était écrit.
Si ce roman a des airs de feel good book, il est marqué d’une réelle empreinte littéraire, fait la part belle à la poésie, et interroge avec pertinence les violences plurielles de l’époque.