Quelque part entre le monde des vivants et celui des morts, François Durif nous livre le récit de son expérience de croque-mort dans un texte saturé de références et bercé par les pas d’une promenade au cimetière.
Si l’auteur se révèle étonnamment doué pour exercer ce métier et nous en restituer la symbolique et l’esthétique, c’est qu’il fonctionne comme une éponge.