Giancarlo De Cataldo
Que disent les 36 avis scannés sur le web de cet écrivain italien ?
Giancarlo De Cataldo, né le 7 février 1956 à Tarente, chef-lieu de la province homonyme, est un romancier, dramaturge, essayiste, scénariste et magistrat italien, auteur de roman policier.Giancarlo De Cataldo écrit en italien et est traduit en français par Serge Quadruppani .
VIAF signale 123 parutions dans 13 pays de cet écrivain.
Page créée le 07/01/2016 - mise à jour le 18/04/2023 à 17:54
Tableau de bord

Je suis le châtiment

Alba nera

L’agent du chaos

Rome brûle

Suburra

Le fil du web
K-libre 18-04-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Un roman d’enquête plus léger, plus classique également, où il s’amuse à mettre en scène un défilé de personnages surannés.
Le blog de Yv 31-03-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Giancarlo, par ailleurs magistrat à la cour de Rome, outre les opéras dont il parle fréquemment, écrit sur le système judiciaire italien, sur son délitement, la fatigue qui s’empare de ceux censés la rendre et sur le très enviable monde de la télévision.
Nyctalopes 25-03-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Allegro ma non troppo, Je suis le châtiment, un polar qu’on espérait porté par l’art lyrique et qui joue en fait une musique très classique.
Actu du noir 23-03-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Et mine de rien, au travers d’une histoire enlevée, sans y paraitre, c’est bien la société romaine qui est la toile de fond de ce polar fort divertissant.
MAM et BMR 17-03-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Les amateurs d’intrigues policières alambiquées seront peut-être déçus : le roman se savoure plutôt comme le chocolat dont est friand le procureur, une douceur qui fond tout simplement dans la bouche.
Le polar sonne toujours deux fois 16-03-2023
Podcast : Je suis le châtiment
"Je suis le châtiment", de Giancarlo de Cataldo
Le domaine de Squirelito 14-03-2023
Chronique de Je suis le châtiment
Vif, avec une écriture tout sauf académique, ce thriller se lit d’une traite.
Actualitté 22-07-2022
Chronique de Alba nera
La chose que je retiendrai de ce roman reste la noirceur de ces « bourrés de pognon » de tous bords qui se permettent d’acheter des femmes pour le plaisir sadique de faire souffrir y compris jusqu’à la mort. Noirceur cachée par leurs relations et leur argent lesquels assurent leur impunité dans des compromissions assumées…
En lisant en écrivant 20-06-2022
Chronique de Alba nera
Le roman montre Rome sous son jour le plus noir : corruption, violence dans toutes les couches de la société, une gangrène, une lèpre qui entachent tout le monde, même ceux en qui on devrait avoir le plus confiance.
Le blog de Yv 17-04-2022
Chronique de Alba nera
Bref, un roman noir tortueux, maîtrisé de bout en bout, un de ceux dont on se demande comment on va en sortir et dont on aimerait qu’il se poursuive un peu...
Nyctalopes 14-04-2022
Chronique de Alba nera
Voilà, bof. Aussi insipide et décevant que la Squadra Azurra ces derniers temps.
Actu du noir 27-03-2022
Chronique de Alba nera
Du très bon De Cataldo, dans la lignée de ses romans courts et incisifs, pas dans celle des épopées comme Romanzo Criminale. Que du bonheur donc, et la porte entrouverte pour une suite.
The killer inside me 29-04-2019
Chronique de L’agent du chaos
L’agent du chaos n’a pas le réalisme des précédents opus de de Cataldo parce que justement, il veut s’en détacher et interroger son lecteur.
Actu du noir 15-04-2019
Chronique de L’agent du chaos
Dès son premier roman traduit Giancarlo De Cataldo s’est imposé comme un grand du polar italien. Pour rien au monde je n’aurais raté son dernier roman : L’agent du chaos.
Nyctalopes 16-03-2019
Chronique de L’agent du chaos
De Cataldo tisse une histoire addictive et vive, ponctuée par de courts chapitres accrocheurs et magnifiée par un bien beau talent de conteur et une réflexion aboutie sur l’univers des drogues.
The killer inside me 03-12-2016
Chronique de Rome brûle
Le roman retourne vraiment la question de l’avancée de la démocratie dans la société, l’incapacité à imposer la transparence, la corruption des élites mais aussi du petit peuple.
En attendant Nadeau 25-10-2016
Chronique de Rome brûle
Le livre s’ouvre sur une vision apocalyptique : « acheté » par le chef de la mafia, le service de la voirie a entamé une grève d’une durée indéterminée et d’autres vendus ont mis le feu aux poubelles.
Jeanne Desaubry 30-09-2016
Chronique de Rome brûle
Il faudra sans doute de nombreux romans pour désinsectiser l’économie et la vie politique italiennes…
Encore du noir 22-09-2016
Chronique de Rome brûle
La construction remarquable que mettent en place les deux auteurs permet au lecteur de se retrouver sans problème dans les méandres des machinations politiques et des alliances mafieuses mouvantes.
Actu du noir 21-09-2016
Chronique de Rome brûle
Une analyse fine et implacable des jeux de pouvoirs, des ressorts de la politique et de la presse, des dialogues toujours impeccables et une bonne intrigue, le roman noir de Rome continue en beauté non sans laisser un goût amer...
Nyctalopes 08-09-2016
Chronique de Rome brûle
Nous, lecteurs, sommes happés par les plumes acérées du duo d’écrivains et amateurs de roman noir nous rendons les armes en nous laissant guider dans ce dédale sans issue.
Télérama 06-04-2016
Chronique de Suburra
Pas de code d’honneur, de parrains magnifiques ni autres fariboles ici, juste le cynisme, la rapacité, l’argent comme seule valeur qui vaille. A l’image du monde tel qu’il va. Glaçant.
Article payantJeanne Desaubry 31-03-2016
Chronique de Suburra
Pour avoir lu le roman, je peux assurer qu’il offre l’équilibre des points de vue, l’efficacité de la narration, que sa portée informative est diablement sublimée par une traduction hors normes...
Appuyez sur la touche lecture 22-03-2016
Chronique de Suburra
Les deux auteurs réussissent là une passionnante fresque, où l’arrière-plan comme les histoires a priori les moins importantes viennent nourrir l’intrigue central, mais aussi la description très clinique...
The killer inside me 08-03-2016
Chronique de Suburra
Suburra est tout sauf un livre anonyme. Il narre, avec un luxe d’éléments fictionnels, la construction puis la chute du projet et, par association, de ce personnage incroyable, Samouraï.
Marc Villard (blog) 27-02-2016
Chronique de Suburra
Nous avons une impression de déjà-vu avec ce livre car Cataldo tourne autour du sujet Rome-ville-pourrie depuis un bon moment. Dans le texte fourni par le service de presse, on nous parle, au sujet de Cataldo et Bonini, de Balzac. Là, il va falloir se calmer.
Libération 25-02-2016
Chronique de Suburra
Avec ce deuxième volet, il maintient le souffle rapide, sec, qu’il avait déployé dans Romanzo criminale.
Article payantNyctalopes 12-02-2016
Chronique de Suburra
Un roman en 3D, un flash dans la tête sur une ville belle et sombre, décadente et somptueuse, comme un spectacle au Colisée, à l’époque des empereurs...
MAM et BMR 26-01-2016
Chronique de Suburra
Heureusement, il y a de l’humour, parfois féroce, souvent ironique, un second degré d’auto-dérision comme cette fameuse liste de personnages qui ouvre le bouquin.
Encore du noir 25-01-2016
Chronique de Suburra
Portrait sans fard de la putain croulante que semble être devenue Rome sous les années Berlusconi, Suburra se révèle être un roman passionnant.
Le vent sombre 23-01-2016
Chronique de Suburra
Suburra joue une partition qui nous est connue depuis le modèle initié il y a près de quatre-vingts ans par William R. Burnett...
Actu du noir 12-01-2016
Chronique de Suburra
Dvine surprise, on retrouve le souffle, l’ampleur, le rythme, la complexité et en même temps la limpidité de ce premier roman Romanzo Criminale.