A force de trop vouloir tout dire d’un coup, de vouloir marquer l’esprit du lecteur, et peut-être l’époque aussi, le roman erre, se répète, en fait trop, perd en intensité et en puissance...
Saluons la performance de Pauline Clavière qui, pour ses débuts de romancière, a réussi une chronique sensible et documentée sur un sujet délicat, les dédales de la justice et l’univers carcéral.