Ce roman se lit à l’oreille, les mots roulant contre nos tympans alors qu’ils apparaissent sur la page, musique lancinante et hachée, mélopée entêtante et fracassée par ces pleurs...
Comme la chienne, le premier roman de Louise Chennevière prenait aux tripes, Mausolée entre sous la peau et se diffuse lentement comme un sérum de vérité des sensations. C’est fascinant.