Cela aurait pu être un livre triste, déprimant. Blandine de Caunes perd en moins de trois mois, sa fille Violette et sa mère, Benoîte Groult. De cette peine bouleversante, l’auteure signe un récit épatant et lumineux, autour de la maladie et la mort.
J’ai repensé au livre d’Emmanuelle Bernheim, et j’ai aimé la pudeur et la "joie" qui se dégageait de ce récit aussi. Un bel hommage que livre Blandine de Caunes.
Un récit profondément émouvant, qui m’a parfois mis les larmes aux yeux, mais qui demeure lumineux et parfois éclairé par la malice de son auguste mère.