Nicolas Cartelet nous offre un conte qui fleurte avec le fantastique. Onirique et oppressante, l’ambiance sur l’île reflète son ambivalence : paradis rêvé des uns, enfer de la colonisation pour les autres.
Un conte amer et désenchanté où le sort semble s’acharner sur un seul homme, écrit avec un style magnétique qui laisse un fort sentiment une fois le livre refermé.