A travers la fascination des Algériens pour le chardonneret, Seham Boutata relate avec poésie la vie des immigrés.
Pour tous ceux qui, comme le père de l’auteur, ont émigré en France pour trouver du travail, le chant du chardonneret maintient le lien affectif avec leur pays, les console en apaisant le ghorba, la nostalgie mélancolique qui les hante.
Le livre de la semaine : "La mélancolie du maknine"
Le livre de la semaine #27 : "La mélancolie du maknine" de Seham Boutata
Seham Boutata : "le chardonneret est bien plus qu'un oiseau en Algérie"