Le croissant fertile de la Conca d’Oro et son éternelle promesse d’évasion par la mer sont sublimés dans ce texte fragmentaire, poétique et sensuel.
J’ai retrouvé avec plaisir l’écriture de Sébastien Berlendis qui m’avait bouleversé avec son premier roman « Une dernière fois la nuit ». Ici la prose est moins lyrique, plus sèche, et dresse par petites touches un tableau impressionniste.
On pourrait trouver trop de douceur à ces mots d’amour et de vie adolescents. Ce serait mal les lire, les lier. Car partout la douleur veille, guette.
Sébastien Berlendis - Maures
Rentrée littéraire 2016 : Sébastien Berlendis présente Maures