Très largement saluée par la critique avec son premier ouvrage, Inès Bayard signe un second roman en demi-teinte mêlant étrangeté et intrigue autour d’une femme perdue et victime de sa propre vie.
J’ai trouvé qu’Inès Bayard accumulait outrances et invraisemblances, forçait outrageusement le trait nous livrant un roman qui manque cruellement de crédibilité.
Le Malheur du bas est un roman qui marque le lecteur au fer rouge, qui le révulse, lui donne la nausée parfois, il n’est demeure pas moins que c’est un roman important, à mettre dans de nombreuses mains, dès le lycée.