Un petit roman donc, plutôt léger, dont l’écriture peut paraître un peu lourde, mais bien plus addictif qu’il n’y paraît, et qui m’a tenu alors que je n’en attendais pas grand chose. Lu en une journée. On peut même dire… dévoré, à ce stade.
Claire Bauchart parvient à glisser dans son polar le sort peu enviable des stagiaires, de presse et d’ailleurs, esclavage revisité de notre époque, et des familles de victime, devenue pâtée à voyeurisme....