Jon Bassoff
Que disent les 19 avis scannés sur le web de cet écrivain américain ?
Jon Bassoff, né le 6 mars 1974 à New York, est un écrivain américain de roman noir.Jon Bassoff écrit en anglais et est traduit en français par Anatole Pons-Reumaux .
VIAF signale 6 parutions de cet écrivain dans le monde.
Page créée le 01/01/2016 - mise à jour le 25/12/2019 à 16:05
Tableau de bord
Le fil du web
Tête de lecture 25-12-2019
Chronique de Les Incurables
Le rouge domine donc ce roman noir tragique en bien des points mais non dénué d’humour à mes yeux. Car la folie tourne au grotesque, chacun semblant se précipiter vers le pic à glace dans une perspective littéraire s’inspirant du meilleur gore cinématographique.
Black novel 1 09-07-2018
Chronique de Les Incurables
Avec son style minimaliste et bigrement évocateur, Jon Bassoff nous guide dans son cauchemar qu’il a patiemment dessinés avec juste quelques traits de fuseau, un fuseau comportant deux couleurs : le noir et le rouge.
Littérature d’Irlande et d’ailleurs 17-06-2018
Chronique de Les Incurables
Un des romans les plus noirs que j’ai lu dans ma longue carrière de lecteur ! Du Jim Thompson puissance deux !
Fondu au noir 21-04-2018
Chronique de Les Incurables
« Imaginez Vol au-dessus d’un nid de coucou réécrit par Elmore Leonard », dit Ken Bruen en 4e de couverture de ce roman, Les Incurables. Je dirais surtout : lisez plutôt Le Charlatan, ce superbe Série Noire de W.L. Gresham.
Quatre sans quatre 09-04-2018
Chronique de Les Incurables
Une histoire de fous, mais pas une histoire folle, dans un patelin, sorte de parc d’attraction à la Freaks, le magnifique film de Tod Browning, dans lequel les malformations des protagonistes ne sont pas physiques mais psychiques.
Le blog du polar de Velda 10-06-2016
Chronique de Corrosion
Il y a une écriture sans détours, un humour à faire pleurer, des clins d’œil littéraires, un pessimisme radical, et, malgré tout cela, une empathie bouleversante pour des personnages éloignés des clichés...
MAM et BMR 04-05-2016
Chronique de Corrosion
Un roman inconfortable (c’est certainement voulu), étrangement construit, pour une vision bien dérangeante de notre monde rongé par toutes sortes de poisons.
D’une berge à l’autre 04-03-2016
Chronique de Corrosion
Après, Corrosion est un vrai bon roman noir à l’ambiance pesante et à la construction tout sauf linéaire. Mais sa lecture ne m’a pas procuré beaucoup de sensations.
Black novel 1 14-02-2016
Chronique de Corrosion
L’écriture de Jon Bassoff est prenante, incroyablement hypnotique, à tel point que l’on n’a plus l’impression de lire une histoire, mais bien de plonger dans des psychologies de grands malades...
Le Rouquin Bouquine Youtube 04-02-2016
Vidéo : Corrosion
[Critique] Corrosion, de Jon Bassoff (éd. Gallmeister)
Encore du noir 31-01-2016
Chronique de Corrosion
Atmosphère de fin du monde et délires psychotiques rendus par une écriture rentre dedans sans fioritures mais ciselée sont au programme de ce roman inconfortable et fascinant.
Mic Mélo 27-01-2016
Chronique de Corrosion
Le style et l’écriture, il connaît, et ce premier roman est tellement abouti, malgré une ou deux longueurs, qu’il a bien plus des allures de dixième livre.
Unwalkers 26-01-2016
Chronique de Corrosion
Jon Bassoff réussit l’exploit de rendre poétique un récit qui vous prend aux tripes.
Tasha’s books 22-01-2016
Chronique de Corrosion
Je ressors un peu sonnée de cette lecture. Voilà un bouquin qui ne cherche pas à se rendre aimable, c’est le moins qu’on puisse dire.
Unwalkers 12-01-2016
Chronique de Corrosion
L’écriture est de grande qualité, le découpage narratif aussi, franchement c’est parfait, enfin presque, il me reste dans la bouche un goût de puanteur qui n’est pas prêt de partir…..
Actu du noir 03-01-2016
Chronique de Corrosion
C’est très fort, très habile dans la construction (on se fait bien balader), très fort dans l’écriture qui épouse la pathologie du personnage.
Jeanne Desaubry 24-12-2015
Chronique de Corrosion
Voilà un roman dont la construction inhabituelle est tout à fait remarquable. Il parait évident que les impressions de lecture seraient tout à fait différentes si le début ne se trouvait dans la fin et vice versa.