L’on y retrouve les codes, les obsessions et les décors d’une œuvre qu’on ne ferait qu’effleurer en affirmant qu’elle « a rapport avec du chamanisme révolutionnaire et avec de la littérature » ...
Images d’une beauté poignante et sombre soudain cisaillées, poésie lancinante, « Black Village » est aussi traversé par cette drôlerie étrange qu’on appelle l’humour du désastre...