Russell Banks
Que disent les 21 avis scannés sur le web de cet écrivain américain ?
Russell Banks, né le 28 mars 1940 à Newton, dans le Massachusetts et mort le 8 janvier 2023, est un écrivain progressiste américain. Son œuvre est traduite en vingt langues.Russell Banks écrit en anglais et est traduit en français par Pierre Furlan .
VIAF signale 275 parutions dans 19 pays de cet écrivain.
Page créée le 27/05/2017 - mise à jour le 12/04/2023 à 19:15
Tableau de bord
Le fil du web
La petite liste 12-04-2023
Chronique de Oh, Canada
Un roman profond et vrai qui nous parle non seulement de notre fin, mais de toute notre existence en nous amenant à réexaminer nos souvenirs et relativiser notre mémoire.
Mots pour mots 03-04-2023
Chronique de Oh, Canada
Les experts voudront nommer le phénomène, le lecteur cherchera à débrouiller le vrai du faux. Mais admirons plutôt la démonstration. Comme un dernier processus de création à l’œuvre.
Le bouquineur 19-01-2023
Chronique de Voyager
Si globalement il s’agit d’un bon bouquin, il y a aussi – et c’est toujours pour moi, ce qui me gêne avec cet écrivain – des longueurs et des passages un peu pénibles à lire.
Libération 26-11-2022
Chronique de Oh, Canada
Le romancier américain enregistre l’ultime confession et l’agonie d’un ancien déserteur de la guerre au Vietnam.
Article payantBenzine Magazine 15-11-2022
Chronique de Oh, Canada
Radiographie d’une mémoire de fin de vie, entre réalité et fiction.
En lisant en écrivant 26-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Très très beau roman, crépusculaire et cependant lumineux, romanesque et comment !, tout en trahisons volontaires ou involontaires, avec le bruit de la mort qui approche et pose sa faux sur la gorge du vieil homme.
Le Monde 24-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Il écrit depuis près de cinquante ans et compte parmi les plus grands auteurs américains. Ses derniers livres sont aussi les plus intimes : ainsi « Oh, Canada » est-il le roman de la mort qui se profile. Clés de lecture d’une œuvre.
Article payantPamolico 18-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Oh, Canada est donc un roman testamentaire, comme le souligne Actes Sud, qui s’attache à écrire le besoin d’obtenir le pardon avant de partir, la culpabilité qui culmine, la complexité d’une mémoire rouillée, le fondu au noir qui obscurcit finalement l’esprit – les dernières heures d’un homme qui voit défiler sa vie et, cette fois, oralise ce qu’il voit.
Les échos 18-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Pour son retour au roman dix ans après « Lointain Souvenir de la peau », Banks s’interroge sur le mensonge et la vérité, le temps et la mémoire.
Article payantLa Croix 12-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Au terme de sa vie, un documentariste américain célèbre, réfugié au Canada dans sa jeunesse pour échapper à la guerre du Vietnam, décide de dévoiler la vérité sur ses engagements. Dans le noir, face caméra.
Article payantLe masque et la plume 12-09-2022
Podcast : Oh, Canada - Commencements - Où es-tu, monde admirable ? - Le trésorier-payeur
Littérature avec Russell Banks, Sally Rooney, Yannick Haenel, Catherine Millet...
Shangols 07-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Oh, Canada est parfois un peu long et répétitif, on s’y ennuie de temps en temps, et on dirait qu’il n’est pas complètement fini, que Banks a laissé tomber au bout d’un moment l’ambition de sa trame il est vrai très vaste. Mais malgré ça, il est écrit dans une prose très impressionnante, et dans une construction parfaitement maîtrisée malgré sa complexité
Télérama 06-09-2022
Chronique de Oh, Canada
Officiellement, Leonard Fife, documentariste canadien de bonne notoriété, a été l’un des soixante mille jeunes Américains à avoir fui en 1968 au Canada pour éviter la conscription et la guerre du Vietnam.
Article payantLe Figaro 31-08-2022
Chronique de Oh, Canada
Depuis Terminus Floride, en 1985, Russell Banks n’a cessé d’explorer les arrière-salles du rêve américain, mettant en scène les paumés, les sans-grade, nous dévoilant des lambeaux de vie arrachés aux exclus et aux déclassés, à ceux qui arrivent trop tôt en bout de course.
Article payantJournal du dimanche 31-08-2022
Chronique de Oh, Canada
Pour Banks, l’histoire américaine n’est pas un miroir dans lequel il se contemple, c’est une glace sans tain à travers laquelle il révèle une réalité voilée.
Article payantLe masque et la plume 13-08-2017
Podcast : Entre eux - Voyager - Je suis le gardien du tombeau vide - J’ai toujours cette musique dans la tête
Le masque et la plume livres