Onze nouvelles autant de basculements dérisoires que Natacha Andriamamirado accompagne de délicieux récits où elle surprend le déclencheur de ses textes, poursuit la singularité d’une appréhension curieuse, sceptique, du monde un peu fou qu’en partage nous avons.
La beauté de La bouée tient au regard que Natacha Andriamirado porte sur le monde, sur les individus, et à la langue que l’écrivaine invente pour les raconter.