Agnès Karinthi
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Partie italienne / Antoine Choplin
Je n’ai pas été sans penser au Joueur d’échecs de Stefan Zweig (publié en 1943) en lisant la Partie italienne.

Disparaître / Lionel Duroy
Duroy le conteur ne peut pas disparaître. Il est éternel.

Les enfants de la Volga / Gouzel Iakhina
Les enfants de la Volga est le deuxième livre de Gouzel Iakhina publié en français. Les répressions staliniennes sont au cœur de ses écrits. Son premier roman, Zouleïka ouvre les yeux, a été multiprimé.

Au printemps des monstres / Philippe Jaenada
Un roman brillant, je vous dis. Comme à son habitude, Philippe Jaenada y insère quelques anecdotes personnelles. Il y mêle certains personnages de ses livres précédents, arrive même à faire le lien avec Patrick Modiano et ses écrits.

Ce qu’il faut de nuit / Laurent Petitmangin
Ce premier roman est beau et les personnages touchants. Ce qu’il faut de nuit est une belle promesse pour l’avenir littéraire de l’auteur.

Un mariage américain / Tayari Jones
Pourquoi certains auteurs n’osent pas aller au bout de leurs personnages ?

L’École des soignantes / Martin Winckler
Tout le monde est beau et gentil, en quelque sorte. C’est trop ! Il n’est pas souhaitable de lisser les individus de la sorte !

Tu t’appelais Maria Schneider / Vanessa Schneider
Le style de Vanessa Schneider, emphatique et accusateur, oppresse, même lorsque l’écrivain se met en scène personnellement, dans ses gestes de petite fille ou la féérie des vacances scolaires

Le Poids de la neige / Christian Gay-Poliquin
Ah, quel bonheur que ce roman ! Délicieusement glacé, venteux, lézardé, désespéré et colérique, enfoui sous une tonne de neige, de glace et de blizzard.

Une longue impatience / Gaëlle Josse
Le silence et l’attente. Seule une écriture poétique permettait d’évoquer ce thème sans lasser le lecteur. Gaëlle Josse a réussi cette prouesse avec une merveilleuse sensibilité.

Simple / Julie Estève
Je pense que je ne retiendrai vraisemblablement pas grand-chose de ce texte et je le regrette.

Tenir jusqu’à l’aube / Carole Fives
Si j’ai aimé le style de Carole Fives, aussi précis et factuel que dans son précédent roman Une femme au téléphone (L’Arbalète Gallimard, 2017), j’ai préféré la construction littéraire de Pierre Péju plus dense, moins linéaire, un délicieux conte pour adultes.