À travers la figure d’un chanteur militant improvisé, et de la foule de voix qui l’accompagnent, une impressionnante mosaïque de l’horreur chaotique de la guerre civile syrienne – et un rappel salutaire de ce qui crée les réfugiés.
Le roman de Maxime Actis est comme le personnage qui lui donne son titre : un ensemble incertain, une série de discours et images fragmentés, disjoints, chaotiques – un roman qui s’écroule.